baz'art

arts plastiques

Aline Morvan

Passerelle

sculpture dans l'espace public

16 et 17 juin

rue lissignol

Jetant un pont de cordes entre deux bâtiments, Passerelle crée une liaison entre eux. C'est le dessin d'un trait d'union possible entre deux architectures. Visuellement ce lien agit comme un indice sur l'imaginaire du passant, suscitant la dangereuse tentation de passer d'un bâtiment à un autre. Cependant les modestes noeuds liant l'ouvrage en interdisent tout usage. Toute tentative de franchissement serait périlleuse et entrainerait à la fois la destruction du pont et la chute de l'aventurier.
L'artiste suscite ainsi un sentiment de frustration chez le regardeur et le contraint à un déplacement fictif, par la seule projection mental.

Aline Morvan est née en 1982 en région Parisienne. Elle vit et travaille actuellement à Genève. Après des études d’art plastique à l’université Paris 8, elle intègre les Beauxarts de Rennes ou elle obtient son DNSEP en 2008. En 2010 elle participe au programme de formation Postgrade ( ALPes, Art,lieu paysage, espace sonore) à la HEAD Genève interrogeant les pratiques artistiques dans l’espace public. En 2011 elle obtient le diplôme REAL (Réalisation céramique et polymères), à la HEAD. Elle a participé depuis 2008 à plusieurs expositions collectives, à la Criée à Rennes, à Ars longua à Paris, au Festival Indisciplines à Nice, au Centre d’art Bastille à Grenoble, à la manifestation Imaginez Maintenant à Metz, Miniflux Fête des Lumières Galerie Roger Tator à Lyon...

Jetant un pont de cordes entre deux bâtiments, Passerelle crée une liaison entre eux. C'est le dessin d'un trait d'union possible entre deux architectures. Visuellement ce lien agit comme un indice sur l'imaginaire du passant, suscitant la dangereuse tentation de passer d'un bâtiment à un autre. Cependant les modestes noeuds liant l'ouvrage en interdisent tout usage. Toute tentative de franchissement serait périlleuse et entrainerait à la fois la destruction du pont et la chute de l'aventurier.
L'artiste suscite ainsi un sentiment de frustration chez le regardeur et le contraint à un déplacement fictif, par la seule projection mental.
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